Abstract

C’est depuis peu qu’on prête au mobilier et aux objets du quotidien (chaises, chandeliers et tables, etc.) le pouvoir d’exprimer la sensibilité de leur propriétaire. Parfois, débordant de leurs usages, ces meubles qu’ils aient été construits par la communauté religieuse des shakers aux États-Unis ou qu’ils soient prétendument habités par les esprits agissent de manière erratique et n’ont de cesse de faire des blagues à leurs propriétaires. La vie des objets s’avère bien réelle.

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